Le bassin d’échouage est une partie emblématique du port de La Rochelle. Situé entre la Tour Saint-Nicolas et le Quai Duperré, il forme un grand rectangle de 300 mètres de long, 100 mètres de large et a une profondeur moyenne de 3,5 mètres. Ce bassin peut contenir environ 100 000 mètres cubes d’eau, ce qui est déjà impressionnant.
Maintenant, imaginez un instant : en France, nous sommes 69 millions d’habitants, et chacun produit en moyenne 2,5 litres de pipi chaque jour. Cela ne semble pas énorme... jusqu’à ce qu’on additionne tout ça. Résultat ? Un total surprenant de 173 000 mètres cubes de pipi chaque jour. (*)
Si on décidait de verser tout ce pipi dans le bassin d’échouage, il serait rempli en moins d’un jour — exactement, en 14 heures. Troublant, n’est-ce pas ? Ce calcul à la fois amusant (et un peu dégoûtant) nous rappelle qu’il est crucial de bien gérer nos eaux usées pour protéger notre environnement. Car soyons honnêtes, personne ne veut imaginer un tel bassin autrement qu’avec de l’eau claire.(*)
(*) Autres exemples, dans les mêmes conditions, le Vieux-Port de Marseille se remplirait entièrement en seulement 5 jours ; Une piscine olympique déborderait en moins de 30 minutes.
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Mais oui ! Il joue quelquefois gentiment à torturer à mort une mouche ou une araignée, le minet.
Le mignon Chacha est aussi foutu capable de niquer ses sœurs, ses tantes et même sa mère.
Gros minou tout doux laisse un petit cadeau sur le tapis du salon, puis grimpe tout droit en haut du rideau.
Sous mon lit, il joue à glisser sur le dos, ses griffes bien plantées dans la toile du sommier.
Mais qu’il est beau, qu’il est agile, joueur, coquin et malin : je l'aime, mon minou adoré.
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En France, nous sommes environ 68,6 millions d’habitants. Prenons une hypothèse simple : si seulement la moitié d’entre nous, soit 34,3 millions de Français, consommaient chaque jour un unique café accompagné d’un seul sucre de 4 grammes, cela représenterait un poids total considérable de sucre. Pour simplifier, arrondissons : nous atteignons déjà 140 tonnes de sucre quotidiennement – rien que pour un café. Et uniquement pour la moitié des Françaises et Français !
Imaginez maintenant les moyens de transport nécessaire pour acheminer ces 140 tonnes : il faudrait trois imposants camions semi-remorques de 44 tonnes chacun, ou, pour des livraisons urbaines, une queue leu leu d’environ 40 camionnettes de 3,5 tonnes. Et ce n’est qu’un exemple, car le même calcul s’applique au sel, à la farine, aux fruits et légumes… sans même aborder des sujets aussi lourds et volumineux que l’eau en bouteille, l’énergie, nos vêtements ou les matériaux de construction.
Heureusement, tous les Français ne (se) sucrent pas... sinon bonjour les bouchons de camionnettes !
Pour travailler, se détendre ou simplement vivre au quotidien, c’est dans la zone de 20 et 22 °C. que la majorité des gens se sentent le mieux,
Bien évidemment, tout le monde n’est pas du même avis : les pingouins qui tentent de s’acclimater hors de la banquise préfèrent –2°C, tandis que les plantes tropicales rêvent de 30 °C, avec une humidité digne de l’Amazonie. Les cactus, eux, seraient ravis avec un bon 40°C, bien sec. Ajoutez à cela une humidité idéale entre 40 % et 60 %, et vous obtenez l’équilibre parfait… sauf si vous espérez vivre dans un désert ou à l’inverse un hammam.
Plaisanterie mise à part, les faits sont précis : la majorité des humains se sentent bien entre 20 et 22 °C et un taux d’humidité de 40 à 60 %.
Cela dit, il est aujourd’hui reconnu que viser 18 à 20°C reste une alternative tout à fait viable. Cette légère baisse de température, restera confortable pour la plupart des gens, permettant à la fois d’optimiser notre consommation énergétique et de mieux préserver nos ressources. Un petit ajustement, presque imperceptible au quotidien, pour un impact durable.
Dans le film Sur la route de Madison, alors que Mickel s’interroge encore sur l’infidélité accidentelle, vingt ans plus tôt, de leur mère, sa sœur, qui elle, n’a aucun doute à ce sujet, lui répond avec ironie : « Oh, Mickel ! Qu’est-ce que l’on doit être bien dans ta tête, avec Bambi et la fée Clochette. »
Ce court dialogue met en lumière la différence de perception entre Mickel et sa sœur, illustrant une certaine naïveté masculine face à la lucidité féminine. Alors que Mickel s’accroche encore à ses doutes et illusions, sa sœur, avec une ironie mordante, souligne l’écart entre leurs visions du monde.
Ce dialogue, au-delà du contexte familial, reflète une dynamique plus large où la clairvoyance féminine semble souvent se heurter aux illusions masculines.
Un homme attablé dans un bar rempli de monde et qui regarde droit devant lui ; un passager qui, dans un avion, reste assis dans son fauteuil les yeux fermés ; un lecteur plongé dans son livre sur un banc public, totalement absorbé par sa lecture. Tous trois communiquent un message : ils ne veulent parler à personne et ne souhaitent pas qu’on leur adresse la parole.
En général, leurs voisins comprennent le message et les laissent tranquilles. Manifestement, il y a là échange, presque autant que dans une discussion animée. Ce qui veut dire que la communication passe aussi par l'attitude et le comportement.
D’après, Une logique de la communication – P. Watzlawick, J. Helmick Beavin, Don D. Jackson – Seuil 1979.
Les chiens tournent sur eux-mêmes avant de se coucher, un instinct hérité de leurs ancêtres sauvages qui vérifiaient ainsi la sécurité du sol. Nos compagnons domestiques n’en ont plus besoin, et beaucoup de chiots élevés en confiance auprès des humains abandonnent ce geste ancestral. Cependant, les chiens sauvages et errants le conservent par prudence.
Chez les humains, un phénomène similaire s’observe avec la mémoire. Jadis essentielle, elle est aujourd’hui relayée par la technologie : nous comptons sur nos mobiles et GPS pour nous rappeler numéros, adresses et itinéraires. Notre cerveau s’adapte à cette nouvelle réalité en développant d’autres compétences, comme la rapidité d’accès à l’information et la gestion multitâche.
Mais cette transformation crée un écart grandissant entre ceux qui maîtrisent ces outils et ceux qui n’y ont pas accès. D’un côté, certains développent une pensée agile adaptée aux nouvelles technologies ; de l’autre, ceux laissés pour compte voient leur monde se complexifier, creusant une fracture sociétale préoccupante. Plus qu’une simple évolution, c’est un défi majeur : comment éviter une inégalité irréversible ?
Les programmes informatiques, souvent qualifiés à tort d’« intelligence artificielle », optimisent la recherche en ligne, rédigent efficacement et excellent en calcul. C'est un progrès notable, mais loin d’une véritable intelligence.
En 2025, l’IA reste un système de prédiction basé sur des modèles statistiques, incapable de saisir la complexité du monde. Cette limite se manifeste particulièrement dans l’interprétation des émotions et des gestes humains : des larmes peuvent exprimer la joie ou le chagrin, un sourire la sympathie ou le mépris.
Le jour où une machine comprendra la signification réelle des mots et des gestes, pris dans leur contexte, alors seulement, on pourra parler d’intelligence artificielle au sens strict. Pour l’instant, nous en sommes encore loin.
Ce point important une fois précisé, soulignons à nouveau que les avancées actuelles restent impressionnantes. L’IA facilite et accélère des tâches complexes, restructure l’information avec une précision remarquable, apportant une aide précieuse dans presque tous les domaines.